Etre un couple de nos jours est certainement un challenge de taille.
Pourquoi?
La pression sociale, peut-être familiale. Une trop grande valeur de vie reste donnée au couple.
Oui mais quel couple?
Hétéro? Homo? Marié? Pacsé? En logement séparé?
Il existe tant de façon d'être et d'exister tout en cochant la case couple!
Un couple c'est être deux, c'est un système qui a ses forces et ses failles. C'est deux individus qui décident de s'associer et de partager plein de choses.
En thérapie de couple on examine le malade. Le couple qui dysfonctionne alors qu'il fonctionnait bien. OU PAS!
On l'examine, pas pour juger le bien ou le mal, mais pour faire émerger ses ressources et apaiser ses vulnérabilités.
Comment?
On décortique, pas à pas, dans le respect du rythme et des besoins de chaque membre du couple, tous les problèmes rencontrés, concrêtement.
On passe en revue le quotidien, les aléas de chacun, les histoires de vie et on relance la communication.
Le psychothérapeute est un moyen, un outil qui va faire apparaitre les difficultés et va proposer, jamais imposer, des exercices d'observation et de régulation de la parole et des actes.
Cet engagement de chacun dans la thérapie de couple, permet alors de reproduire ces systèmes, d'abord réactualisés en présence du psy, seuls à la maison.
On travaille sur la place, le territoire, les limites, le respect, le langage, la gestion du silence et des émotions. Et aussi les actions.
Enfant ou pas?
Comment le couple vit -il avec l'arrivée du premier enfant?
- Désir d'enfant/ Refus de la parentalité
- Fécondité/ Infertilité
- PMA
- Deuil périnatal
- Fausse couche/ IMG
- Libido/ Fantasme
- Allaitement/ Charge mentale
- Abandon / Blessure de l'enfant intérierieur/ place de l'enfant réel
- Rejet /Refus/ Fuite
- Espace intime/ couple parental dans le cercle familial/sociétal
- Recomposition du couple/ séparation/ veuvage
- Relation toxique/ peur du couple et des relations
- Sexualité
Tous ces thèmes peuvent être abordés en thérapie de couple, comme en thérapie individuelle dailleurs .
Rappel de déontologie
Rien n'est interrogé ou questionné si de la gêne est présente.
Le psy n'est pas un enquêteur. La confiance va naitre des échanges au cours des séances.
Je m'intéresse constament aux évolutions du couple dans sa réalité contextuelle, et je suis beaucoup de séminaires et formations me permettant de vous proposer des outils affutés et précis.
Cette transparence permet d'instaurer un climat de sécurité et de confidentialité absolue.
Quelle fréquence?
- Une fois par semaine quand la crise est aigüe.
- Une fois par quinzaine dans un premier temps
- Une fois par mois en entretien quand tout redevient acceptable et vivable.
- Souvent entre 8 et 12 séances pour bénéficier d'un retour à un fonctionnement agréable.
Parfois plus rapide, ou plus long, cela dépend beaucoup de chacun.